J'étais énervée. J'avais les yeux rouges et des sanglots encore plein la voix. Je pris le combiné et cherchait dans les numéros enregistrés celui du meilleur ami de ma fille adoptive, Kingston.

Une fois trouvé, j'appuyais sur la touche appel et j'entendis les 3 tonalités. Il décrocha et j'attendis un peu. Je repris mon souffle et annonçais :

-C'est Leah. C'est à propos de Lydia.

Je n'osais pas continuer. Je préférais attendre qu'il s'inquiète et me pose des questions. J'aurais moins l'impression de la trahir. Car c'est ce que je pensais en ce moment-même. Je trahissais ma propre fille !

J'étais couché sur mon lit mes écouteur au oreille. j'écoutais du RAP. Javais des devoir a faire, mais je n'avais absolument pas envie de les faire, sa ne intéressé pas du tout et puis j'y comprenais rien. les bras croisé derrière ma nuque une musique que j'aimais bien. je pensé a ma mère, ma vrai mère, son visage me revint puis celui de mon père. soudain mon portable se mite a vibrer sur la table de chevet. j'enlevai mes écouteur pris mon portable et décrocha :

- oui. dis je d'un voie fatigué.
-C'est Leah. C'est à propose de Lydia.

c'était Leah, Leah de la push, la mère adoptive de Lydia. qu'est qu'elle me voulais. il était peut être arrivé quelque chose a Lydia. je me leva du lit et m'assoie sur le bord. très inquiet je répondis:

- qu'est qu'il y a, il c'est passé quelque chose .. j'espère qu'elle va bien.. je parlé vite et ma voie tremblait. j'aimais Lydia et ne voulais pas qu'il lui arrive quelque chose.

j'étais tres nerveux. je me lava et fessais les cet pas dans ma chambre.

-Qu'est-ce qu'il y a ? Il s'est passé quelque chose ?.. J'espère qu'elle va bien..

Je n'étais plus la seule a m'inquiéter au moins. Je sentais bien qu'il était plus qu'inquiet. J'avais envie de rire. Pourtant, il n'y avait vraiment rien de drôle. Un énorme blanc s'était installé entre nous. Je savais qu'il ne m'aimait pas trop. Rapport à mes liaisons avec sa famille adoptive pas toujours très bonnes ...

-Elle a un petit problème en fait. Mais rien de très grave. Elle a juste décidé d'arrêter de manger et ça m'inquiète. Je ne peux la surveiller qu'ici.

Je pris ma respiration. Allait-il être d'accord pour espionner sa meilleure amie (et sûrement la fille qu'il aime)? Je l'espérais vraiment car, après tout, c'était pour son bien.

-Il faudrait que tu la surveille au lycée. Que tu l'aide à manger ...

-Elle a un petit problème en fait. Mais rien de très grave. Elle a juste décidé d'arrêter de manger et ça m'inquiète. Je ne peux la surveiller qu'ici.

Alors comme ça, Lydia avait un souci avec son poids. Pourtant elle est tellement belle. Mais pourquoi elle fait ça . San doute que les personne du lycée la font chié car trop jaloux d’elle. Maintenant j’étais la et je prendrais soins d’elle. Après tout, Esmé avais raison de me forcer a m’inscrire au lycée.

-Il faudrait que tu la surveille au lycée. Que tu l'aide à manger ...

Comme ça elle voulais que je l’aide. Que je l’aide à manger. Et puis sa me sembler mal placer, je n’aller pas la suivre partout ou elle allait. Mais bon, je ne voulais pas qui arrive quoi que se soit a ma Lydia. Après tout , si Leah s’inquiétait c’est qu’elle devait vraiment avoir besoins d’aide.

- tu peut compté sur moi. Je veut pas qu’elle lui arrive quelque chose. Je prendrait soins d’elle au lycée. Ne t’en fait pas Leah.

enfaite, je ne voyais absolument pas comment je pourrais faire pour l'aider a manger. mais bon, je ferais de mon mieux.

-Tu peux compter sur moi. Je veux pas qu’il lui arrive quelque chose. Je prendrait soin d’elle au lycée. Ne t’en fais pas Leah.

Je souris. Il avait beau habiter chez les Cullen, c'était un chouette môme. Il était prêt à tout pour sa copine. Enfin son amie. Je sentais qu'un grand poids c'était enlever de mes épaules. Je n'étais pas fière de transporter ce poids sur un môme mais on pouvait lui faire confiance alors ...

-Merci Kingston. Merci beaucoup.

Je le saluais et raccrochait. Donc ça, c'était fait. Il fallait maintenant que je vérifie qu'elle n'était pas en train de vomir dans les toilettes. Je m'approchais de la porte et n'entendit rien. Je repartis ranger le dîner en soupirant.