On peut sécher pour boycotter une interro, un cours de maths trop difficile ou un prof que vous n'avais pas envie de voir. dans mon cas, je n'avais absolument pas envie de voir ce Paul et de plus j'avais horreur des cours..



Je fut réveillé par les quelque rayons que le soleil laissait échapper a travers ces nuages gris. Je me leva et m’approcha de la fenêtre. Belle journée! Voila la premier chose que j’ais dis se matin la. Aujourd’hui j’avais cours de math, et je n’avais absolument pas envie d’y aller et de me retrouvé enfermé laba dedans. Il fessai bien trop beau pour aller en cours. Et puis ces temps si je n’avais pas envie d’aller a l’école de la réserve, et de voir toute la bande. Donc je décida de sécher les cours même si je savais que mon père n’allai pas être d’accord, il n’avais rien a dire. Les cours c’était pas pour moi, je savais déjà tout, enfin presque tout, lol. Je quitta ma chambre et descendis en bas en direction de la cuisine pour aller chercher un petit truc a manger.

Que faire aujourd’hui, le temps était de la partie et j’avais envie d’être tout seule. Oui, j’irai faire un tour en foret mais cette fois sous ma forme normale, humaine je veut dire. Je m’approcha de la porte d’entrée et quitta la maison en laissant derrière moi mon sac de cours. Les main dans mes poche de mon shorts en jean, je m’enfonça dans la foret de la pus sans désire précis.

Il faisait vraiment beau aujourd’hui et c’était rare ces temps ci, le soleil laissait passé quelque rayons lorsque l‘épaisse masse de feuillage voulais bien le laisser faire. Je marchais tranquillement, regardant un peut partout autour de moi. J’aimais cette vie, j’aimais la Push, la foret, la nature, la liberté. Je me demandais se que pouvait bien faire les autres en cours. En plus aujourd’hui on avais un devoir de mathématique. Je souri sur cette pensée, pauvre Jared, lui qui n’aime pas les math, il était bien servit, hi hi. Je continuais a marché dans cette immense foret. Je leva mes bras au ciel et inspira une grande bouffée d’aire pur. et oui la foret m’appartenait.

Le vent sur mon visage, la fraîcheur qui se faisait de lus en plus ressentir au fur et a mesure que j’avançais dans la foret. Puis je stoppa net ma petite randonné quand je vis au loin , un majestueux cerf qui s’abreuvais à un point d’eau. Je resta la a le fixé. il était beau, grand et libre, libre de faire ce qu’il voulais. Malheureusement cette pauvre bête avait beaucoup d’ennemis. Puis l’animale releva la tête en hument l’aire et regarda apeuré un peut partout autour de lui. Un danger , il sentait bien qu’il y avais un danger. Il ne peut pas avoir peur de moi car je ne s’entent pas le loups. Je ne m’étais pas transformé aujourd’hui. Et la je vis la bête s’enfuir au plus vite.

J’aurai bien pu me transformé pour pouvoir humer aussi cette fameuse odeur. Pour savoir a quoi on avait a faire, un vampire ou un loups. Mais le souci c’est que je n’avais pas préparer mes vêtement vers la sortie de la foret, et n’avait aucune envie de rentrer tout nue chez moi. me tient là, à l'affût de tous les bruits de la foret. Regardant un peut partout autour de moi comme l’avais fait le cerf.

Oh lala ! La merde ! Se lever dés le matin pour aller en cours. Et en quoi je vous prie ? En maths ! Non mais franchement quelle idée ! Et en plus, à quoi ça me servirait plus tard. Je n'avais pas besoin de savoir mes racines carrées pour chasser les vamp' à ce que je sache ! C'est décidé. Je n'y vais pas. Ce ne serait pas la première fois que je sécherais les cours et ce serait toujours la même excuse : "Comprenez-le le pauvre, il n'a plus de famille". Ils m'énervaient vraiment parfois avec leur pitié à la con ! J'en avais marre ! Ils ne comprenaient rien ! Oui, ma famille me manquait mais comme toujours depuis l'accident. Ce n'était en aucun cas à cause de ça que je voulais sécher les cours.

Je restais donc couché et me rendormis bien vite pour me réveiller environ une heure après. Je réalisais soudain que c'était l'heure de ma ronde. Je courus dehors et enlevait mon pantalon à la hâte pour ensuite me transformer en un énorme loup marron. Je commençais ensuite par aller dans les bois, vers la frontière. J'entendais le bruissement de l'eau et les lapements d'un cerf qui s'y abreuvait. J'allais dans sa direction. Moi aussi j'avais soif après tout.

Je sentis l'odeur de Jake. Alors lui aussi avait décidé de sécher le contrôle de maths ? Marrant comme sur ce point, on était d'accord. Enfin bon, je ne m'en occupais pas pour l'instant. Je vis le cerf s'enfuir à mon approche. C'était toujours comme ça. Et je ne comprenais jamais pourquoi. J'étais leur ami. Je ne les chassais pas. Certes j'adorais le steak mais un steak de cerf, non merci !

J'étais à la rivière. Je bus tout mon saoul. Que c'était bon ! C'était frais, désaltérant. Juste ... Agréable. Je me retournais ensuite et vit Jacob, tournant sur lui-même, les sens aux aguets. Je m'approchais sans bruits, me retransformais toujours sans faire aucun bruit. La tension montait. Je trouvais ça plutôt drôle. Je m'approchais encore de lui.

Je posais ma main sur son épaule tout en disant :

-Bouh !

Le soleil brillait tendrement au dessus de cette forêt. Les arbres semblaient vous observer, là, avec leur air idiot. Non, il n'y avait vraiment pas d'autre mot pour qualifier ces stupides tas de racines et d'écorces, dont le feuillage n'était plus qu'un ramassis de petits papiers colorés.. Je scrutais les environs , inspecta les buissons alentour . Je voulais voir qui avait fais peur a cette pauvre bête inoffensif. J’espérais juste que se ne soit pas une sangsue. De toute façon , ils avaient pas le droit de venir ici. Mais bon, on se méfie avec eux, c’est pour ça que je reste sans bouger à l'affût du moindre bruit. puis je sentie quelque chose se poser sur mon épaule,

-Bouh !

Une voix, un souffle, une odeur, une présence. et tout çà me vint à la gueule d’un coup, provoquant une panique instinctive. Qu’est ce que çà pouvait être ? Pris de panique je fit volt face et me transforma en loups sur le coup, tout en grognant et en hérissent ma fourrure qui avait doubler de volume , la queue droit , prêt a l’attaque. Puis je reconnue cette imbécile de Jared qui aimait bien me jouer de mauvais tour. Il m’avait fait une peur bleu, j’ai bien cru que c’était un vampire. J’étais quand même déçu, j’aurai bien voulu me battre un petit cou ^^. Je me détendis et je frétille la queue dans tout les sens. Sacré Jared, ya que lui pour me faire des truc comme ça je m’approcha de lui et donna un grand coup de patte parterre pour jeter sur lui un tas de feuille morte et de brindille, il en avait plein les cheveux. Je fit un sourire de loup et me mit a aboyer contre Jared. Mon aboiement explosif résonna dans toute la forêt. J'étais peut-être fou d’aboyer aussi fort, quoique, je ne risquais rien sur les terres de mon clan. Je me demandé bien se qu’il fessait ici , il aurai du être en cours a cette heur la, enfin bon, moi aussi. Je voie qu’il avait décider de sécher les cours, tout comme moi.

Il eut d'abord vachement peur et j'en éclatais de rire. Du coup, sans même que j'eus le temps de protester, il se transforma. Il allait falloir qu'il se rachète encore des vêtements. Billy allait péter un câble. Jake lui avait dit qu'il pouvait se maitriser. Faut croire que non ... Je le tapotais ensuite gentiment sur la tête alors qu'il agitait la queue comme un bon toutou. Peut-être aurait-il fait un bon animal de compagnie ? Je chassais cette idée de ma tête. Ce n'était franchement pas le moment pour sortir des blagues douteuses de la sorte.

Je m'assis et lui tendis les vêtements de rechange que j'avais attaché à ma cheville juste au cas où je croiserais une sangsue. Je soupirais puis les lui tendis. Je savais qu'il irait se transformer plus loin mais à vrai dire, je m'en fichais tant que je pouvais parler avec lui parce que le monologue c'était pas mon truc et les transmissions de pensées non plus. Ca m'énervait de trop. J'attendis donc qu'il se carapate sous un buisson et qu'il en ressorte, habillé et disposé à me parler sans me hurler dessus.

-A ce que je vois, toi aussi tu sèche les cours.

Ce n'était pas une question. Juste une simple affirmation qui m'était venue toute seule pour engager la conversation. J'étais fort pour ça. Je trouvais toujours les mots justes, ce qui ne fâchaient pas. Et encore heureux parce que vu toutes les vannes un peu lourdes que j'étais capable de sortir. Les autres membres étaient à mon opposé mais ça ne leur faisait rien. On s'entendait tellement bien ...

-Pourquoi ?

Ca aussi c'était sorti tout seul. Mais j'aimais avoir des explications et le plus tôt serait le mieux car j'étais sur des charbons ardents à l'idée d'une nouvelle croustillante même si je ne me faisais pas trop d'illusions ...